Décès de Monsieur André JOLET (Rhéto 1969)

Capture d’écran 2018-01-08 à 10.51.30.pngLa famille annonce le décès de Monsieur André JOLET survenu en son domicile à Saive, le 6 janvier 2018, à l’âge de 66 ans.
Le défunt repose au funérarium REMACLE à Saive, rue Champ du Pihot, 49, où les visites seront reçues de 17 à 19 heures à partir de dimanche.
Une veillée de prières aura lieu le mardi à 19 heures au funérarium.
La liturgie des funérailles, suivie de l’inhumation au cimetière paroissial, sera célébrée le mercredi 10 janvier à 10 h 30 en l’église Saint-Pierre à Saive.

Décès de Monsieur Jo MASSIN, Rhéto 1964

JO 20170401_449.JPGLa famille annonce le décès de Monsieur Joseph MASSIN, époux de Madame Bernadette PARMENTIER, né à Visé le 14 septembre 1946 et décédé à Liège le 3 janvier 2018.

Le défunt repose au funérarium Massin, rue des Carmes 23 à Visé où les visites ont lieu le vendredi 5, le samedi 6 et le dimanche 7 janvier de 17 à 19 heures.

Une veillée de prières aura lieu en l’église de Devant-le-Pont le lundi 8 janvier à 18 heures 30.

La liturgie des funérailles aura lieu en l’église Notre-Dame du Mont-Carmel à Devant-le-Pont le mardi 9 janvier 2018 à 11 heures.

Jo Massin était le papa de Pascale (Rhéto 1993), de Bénédicte (Rhéto 1996) et d’Anne (Rhéto 2000).

Faire-part.

Décès de Madame Patricia THIRION

Capture d’écran 2017-12-29 à 16.47.03.pngLa famille annonce le décès de Madame Patricia THIRION, née à Wilrijk le 12 avril 1959 et décédée à Visé le vendredi 29 décembre 2017 à l’âge de 58 ans.

Elle est la maman de Loïc de NIJS (Rhéto 2009) et de Gilles de NIJS (Rhéto 2010).

La défunte repose au Funérarium Hauben-Nihant, 66 rue Porte de Souvré à Visé, où les visites sont souhaitées les mardi 2 et mercredi 3 janvier 2018 de 17 à 19 heures.

La liturgie des funérailles, suivie de l ‘inhumation au cimetière de Lorette à Visé, aura lieu en la Collégiale de Visé le jeudi 4 janvier 2018 à 10 heures.

Contre le cancer, il faut bouger !

Un homme sur trois et une femme sur quatre seront confrontés au cancer avant l’âge de 75 ans. En cours de traitement, il est un message qui doit être rappelé : « Il faut bouger, son corps et ses méninges » !  Rester en mouvement représente un réel défi. Certes, l’activité physique dépendra de l’état du patient, de son niveau physique antérieur, de la réponse au traitement et des effets secondaires rencontrés mais il faut rester le plus actif possible et éviter la sédentarité.

Un groupe de centres hospitaliers belges a étudié « l’amélioration de la qualité de vie et la réintégration des femmes atteintes d’un cancer du sein par l’entraînement physique ». Impact (très) positif !

Entretien avec Anne-France Leclerc sur un sujet d’avenir ! Enthousiasme assuré !

Qui est Anne-France Leclerc ? 

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Brillamment diplômée de l’Université de Liège en juin 2013 après ses études secondaires au Collège Saint-Hadelin (Rhéto 2009), Anne-France Leclerc obtient dans la foulée un poste de kinésithérapeute au CHU de Liège. Depuis février 2015, elle est également assistante universitaire. Elle a 26 ans, originaire de Fouron-le-Comte, elle est célibataire et habite à Soumagne.

Tout a commencé sur un heureux hasard. Son mémoire de fin d’études coïncide avec le démarrage d’une étude pilotée par l’INAMI et coordonnée au CHU par les Pr D. Maquet et JM. Crielaard. Guidée par ces derniers, elle choisit d’aligner son sujet sur ce projet public qui traite de la revalidation multidisciplinaire post-cancer du sein. Ce travail signe alors son engagement dans ce projet pluriannuel auquel plusieurs hôpitaux belges ont participé, CHU de Liège inclus. « Dès juillet 2013, j’ai pu intégrer le Service de revalidation oncologique nouvellement créé au sein du Service de médecine de l’appareil locomoteur dans le cadre du projet pilote auquel je m’étais intéressée. Pour pouvoir prétendre à un doctorat, j’ai complété mon diplôme de master en kinésithérapie et réadaptation par une deuxième année de master en sciences de la motricité dispensé à l’ULg. Dans cette attente, j’en ai profité pour suivre des cours de médecine, participer à des congrès (inter)nationaux, publier des articles et continuer de récolter les données de l’étude INAMI toujours en cours ».

En 2015, elle devient doctorante, toujours sous la supervision du Pr D. Maquet qui coordonne le projet avec le Pr J-F Kaux (chef du Service de médecine de l’appareil locomoteur). « Au CHU, on n’a pas attendu le rapport officiel sur l’étude pour aller plus loin dès lors que les résultats en interne démontraient les bénéfices engendrés ». Ceux-ci sont évalués à l’aune de trois critères : les capacités physiques du patient ; son profil psychologique ; sa composition corporelle. Les résultats du projet ont été publiés à plusieurs reprises. Les références des publications dont Mme Leclerc est premier auteur sont reprises à la fin de cet article. Après trois mois de prise en charge, les patientes du groupe expérimental présentaient une amélioration significative de leurs capacités physiques (PMA, VO2max, périmètre de marche, souplesse, …), de leur qualité de vie et de leurs fonctions (physiques, cognitives et sociales) mais aussi des symptômes liés aux traitements, sans oublier une diminution significative du pourcentage de masse grasse. Une publication à paraître prochainement démontre les bénéfices à long terme de la revalidation : « Au terme des deux années d’étude, les analyses révèlent toujours des améliorations significativement plus grandes (et continues) au sein du groupe expérimental qu’au sein du groupe contrôle, faisant la preuve des bénéfices substantiels apportés par le programme ».

 ► Les publications scientifiques d’Anne-France LECLERC

(Article du Chuchotis sur la revalidation oncologique).

Décès de Monsieur Antoine VANDENDYCK, époux de Madame Anne-Pascale JEGHERS

La famille annonce le décès de Monsieur Antoine VANDENDYCK, époux de Madame Anne-Pascale JEGHERS (Rhéto 1991, et beau-fils de Roger JEGHERS, Rhéto 1956), né à Rocourt le 10 juillet 1973 et décédé à Aubin-Neufchâteau le 1er décembre 2017.

Le défunt repose au funérarium Hauben-Nihant à Visé où la famille reçoit les visites ce lundi 4 décembre de 17 à 19 heures 30.

La cérémonie d’adieu, suivie de l’inhumation au cimetière de Warsage, aura lieu en l’église Saint-Pierre à Warsage le mardi 5 décembre 2017 à 11 heures.

Jean-Pierre Callens (Rhéto 1968)

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Professeur de français retraité de l’agri (ISI), Jean-Pierre Callens est passionné par l’histoire locale. Mais c’est un peu par hasard qu’il s’est penché sur le sort des réfugiés juifs.

Comment avez-vous eu connaissance de l’existence de ce centre?

C’est en lisant un livre sur la Belgique et la persécution des Juifs que j’ai appris qu’il y avait eu ce centre à Marchin. Ensuite, aux archives de l’État, à Liège, j’ai pris connaissance d’archives conservées sous la rubrique «Archives du centre pénitentiaire école de Marneffe».

Au total, combien de Juifs sont passés par Marchin?

On ne sait pas exactement car il y a eu des allées et venues. En recoupant les registres, on sait cependant qu’entre septembre 1939 et le 10 mai 1940, 272 réfugiés sont passés par le centre. Et 115 d’entre eux seront déportés vers Auschwitz…

D’où venaient-ils?

La plupart venaient d’Allemagne qu’ils avaient fui surtout après la nuit de Cristal. D’autres venaient d’Autriche après l’annexion ou encore de Pologne ou de Hongrie. La plupart étaient germanophones.

Outre ceux qui ne sont pas revenus d’Auschwitz, certains ont eu un destin tragique…

Effectivement, lors de l’exode en mai 40, trois d’entre eux quittent la colonne de réfugiés et sont arrêtés à Namur. On les prend pour des espions allemands et ils sont finalement fusillés par les troupes belges.

(Article de Jean-Louis TASIAUX dans L’AVENIR du 12 juin 2015)

Vous pourrez lire les conclusions du livre de Jean-Pierre CALLENS dans le prochain numéro de L’UNION. Quelques exemplaires au prix de 10 euros sont encore disponibles chez l’auteur. Une réédition est envisagée pour 2019 en même temps que la parution du deuxième tome consacré au camp de Marneffe.

Décès de Madame Armande SERVATIUS, veuve de Monsieur Germain ANGÉ

La famille annonce le décès de Madame Armande SERVATIUS, veuve de Monsieur Germain ANGÉ, née à Gouvy le 23 Capture d’écran 2017-10-11 à 13.15.22.pngoctobre 1924 et décédée à Visé le 10 octobre 2017, maman de Charlie (Rhéto 1968), Alain (Rhéto 1969) et Jean-Marc (Rhéto 1971), grand-maman d’Arnaud (Rhéto 1997) et Philippe (Rhéto 1999).

La défunte repose au funérarium Hauben-Nihant, 66 rue Porte de Souvré à Visé, où les visites sont souhaitées de 17 à 19 heures.

Une veillée de prières aura lieu au funérarium le vendredi 13 octobre à 18 h.30.

La liturgie des funérailles sera célébrée en la Collégiale de Visé le samedi 14 octobre 2017 à 9 h.30.

Une bénédiction, suivie de l’inhumation au cimetière de Gouvy, aura lieu en l’église Saint-Aubin de Gouvy à 12 h.30.

Ludovic Sawelew a soutenu sa thèse à Marseille

Ludovic SAWALEW (Rhéto 2004) a soutenu sa thèse ce lundi 2 octobre à l’Université d’Aix-Marseille (ECOLE SAWELEW IMG_2320.jpgDOCTORALE – Sciences de la Vie et de la Santé – SPÉCIALITÉ: Biologie – Spécialité Biologie Végétale):
« La palytoxine chez les Zoantharia (Cnidaria) : biodiversité des organismes producteurs et activité anticancéreuse de la toxine. »
Félicitations au jeune docteur en sciences.

14ème Dégustation de Vins

Les Associations de Parents de l’Institut et du Collège Saint Hadelin et l’Amicale des Anciens du Collège Saint-Hadelin ont le plaisir de vous inviter à leur

14ème Dégustation de Vins

le vendredi 13 octobre de 19 à 22 heures

 

Comme chaque année, vous dégusterez des vins français, italiens, portugais et espagnols. Vous trouverez, en annexe, la liste des vins que, nous l’espérons, vous apprécierez.

Parmi les nouveautés cette année :arton12.png

  • La cuvée 1682 du Château Fontarèche ;
  • La cuvée Aux Tourettes de Guffens
  • Un soave classico Toave Al Pigno
  • Un blanc sicilien à base de Grillo et Zibidio ;
  • Et bien d’autres…

C’est avec la plus grande réserve que nous vous annonçons les domaines qui devraient être représentés à notre dégustation : domaine Fontarèche,  Château des Nages, Domaine Vetrere, Domaine Langhe La Rocca et Bodegas Langa. D’autres viendront peut-être compléter cette liste.

Comme chaque année, la crémerie Juprelle vous fera apprécier certains de ses fromages et charcuteries. Comme chaque année également, une garderie sera organisée pour vous permettre de déguster l’âme sereine…

S’il ne vous est pas possible de passer le 13 octobre, sachez que vous pouvez commander en envoyant un email à bruyere.andre@gmail.com

Nous espérons vous y rencontrer nombreux et avoir le plaisir de partager nos émotions œnologiques. 

Le comité organisateur : Luc Toussaint, Francis Maréchal, Ghislain Levaux, Pierre Kariger, Cécile Soyez, Véronique Dessart, Roger Lourtie, Françoise Douin, Guy Roussel, Roland Soubras, Monique Bruwier, Eric Mailleu, Didier Eich, José Frère, Fabian Nicolaï, Dominique Vandebeek, Luc Olivier, Luc Lejeune, Philippe Permanne, Jean-Paul Jacquinet et André Bruyère.

Liste des vins proposés et bon de commande.

Bernard Smeets, T2 au Cercle de Bruges

Il est une figure connue en région liégeoise. Bernard Smeets (Rhéto 1992) est passé ces dernières années par le staff de Visé, Seraing ou encore du Standard. Après des expériences à Metz et au White Star, le Dalhemois officie depuis mai 2016 comme T2 au Cercle de Bruges. Il y a retrouvé, après quelques mois, la route d’un certain José Riga.

Capture d’écran 2017-09-21 à 09.14.01.pngBernard Smeets,comment avez-vous débarqué au Cercle de Bruges ?

Je suis arrivé via l’intermédiaire d’Eric Deleu, qui devenait directeur technique du club Capture d’écran 2017-09-21 à 09.11.30.png(NDLR : il a depuis démissionné). Je le connaissais de mon époque au Standard, où j’étais T2 de José Riga alors que lui entraînait les gardiens. Le staff devait être recomposé et j’ai saisi cette opportunité.

Quel rôle jouez-vous concrètement pour l’équipe ?

La saison dernière, j’étais à la fois adjoint et préparateur physique. Cette année, j’occupe juste le poste de T2 avec José Jeunechamps. Il analyse les forces et faiblesses de l’adversaire, tandis que moi je m’occupe juste de notre équipe. J’essaye de comprendre comment fonctionne chaque individu, afin de pouvoir extraire le meilleur de chacun. Je m’axe vraiment sur l’humain, au-delà de la tactique.

Le destin vous a de nouveau lié à José Riga depuis novembre 2016.On vous associe souvent à lui,c’est quelque chose dont vous aimeriez vous défaire ?

Pas spécialement m’en défaire, mais j’ai toujours eu une étiquette comme étant « l’homme de… ». Je ne suis pas l’homme de Riga, Quaranta ou Bodart. Je suis l’homme de la personne pour qui je travaille. J’ai mes idées et je ne suis pas toujours d’accord avec le coach. On en parle et on trouve une solution. Je reste en bons termes avec tous les coaches avec qui j’ai travaillé.

En mai dernier,l’AS Monaco est devenu actionnaire majoritaire du Cercle.Vous observez beaucoup de différences depuis ce rachat ?

Il y a le Cercle de Bruges d’avant et le Cercle de Bruges d’après. Avant l’arrivée de Monaco, lorsqu’on perdait on se disait que ça irait mieux la semaine suivante. Maintenant, ça doit aller mieux ! Il y a plus de pression sur le club tout simplement parce qu’il se donne les moyens pour retourner en D1A. C’est la place où doit se trouver le Cercle. Monaco pourra également mieux développer ses joueurs quand nous serons remontés. Il y a 24 nouveaux joueurs cette saison, il faut un peu de temps. Le projet est sur deux ans, mais plus tôt nous remonterons, mieux ce sera. Nous sommes autant voire mieux organisés que la plupart des équipes de la colonne de droite en D1A.

Quels sont vos projets à moyen terme ?Capture d’écran 2017-09-21 à 09.21.17.png

Pour le moment, je me sens bien à Bruges. Mais j’ai mes attaches en région liégeoise, c’est pourquoi l’étranger ne me fait pas rêver. Si je reçois demain une proposition concrète d’un club situé plus près de chez moi, pour devenir T1 ou T2, j’y réfléchirai… J’ai 43 ans et je me sens prêt pour prendre de l’expérience comme entraîneur principal. Je pense que je serai un bon manager pour tirer le meilleur de chacun.

Quels souvenirs gardez-vous de votre passage dans le staff du Standard, lors de la saison 2011-2012 ?

On avait réalisé un beau parcours en Europe cette saison-là. J’ai adoré cette expérience, c’est le club de ma région et l’un des cinq meilleurs clubs de Belgique. Je travaillais chez moi là-bas. On ressent une vraie pression à Sclessin ! Pour beaucoup de supporters, c’est leur vie. Tu sens que tu dois vraiment t’arracher pour les gens.

Comment analysez-vous leur situation actuelle ?

Ça choque de voir que le Standard n’est pas à sa place. Il y a eu beaucoup de changements à tous les niveaux depuis quelques années, il faudrait maintenant de la stabilité.

Vous avez intégré le staff de clubs wallons et flamands. Y a-t-il de grosses différences au niveau de la méthode de travail ?

Ce n’est pas vraiment la même mentalité. En Flandre, tout est axé sur l’organisation. Chacun respecte bien sa tâche. En Wallonie, on est plus mêle-tout. On s’emballe plus vite, on est plus émotif. Mais je pense qu’il y a du positif et du négatif de chaque côté, j’essaye en tout cas de m’inspirer des deux.

Pour terminer, pouvez-vous nous dire ce que vous aimez le plus et le moins dans votre métier ?

Ce que je préfère, c’est le plaisir que je prends aux entraînements avec les joueurs et le fait de se fixer sans cesse des nouveaux objectifs. Pour ce que j’aime le moins, je dirais que c’est lorsque certains joueurs comparent nos entraînements avec ceux du très haut niveau, alors qu’ils n’y sont jamais allés. Certains comparent ce qui n’est pas comparable. 

MAXIME HENDRICK dans LA MEUSE LIEGE et BASSE-MEUSE du 21 septembre 2017