Un projet de Denis Rutten (Rhéto 1984)

À la tête de la société « Les Chefs », Denis Rutten gère la restauration pour l’Opéra Royal de Wallonie, le Théâtre de Liège et le Forum de Liège. Il est à l’initiative de cette première ASBL créée pour venir en aide à un secteur en crise où les acteurs se sentent parfois oubliés. « Comme tous mes collègues, j’ai été directement et doublement impacté par cette crise. Notre but est d’apporter un soutien humain, financier et logistique aux indépendants du secteur qui en feront la demande. » Le slogan de cette jeune ASBL est « Ils vous donnent le plaisir de vivre, donnez-leur le moyen de vivre ! » Et c’est soutenu par des fonds privés que Denis Rutten compte venir en aide à ces indépendants en détresse. « Nous fonctionnerons via des dons privés, d’entreprises et de mécènes. Nous pourrons intervenir et venir en aide aux métiers de bouche, aux acteurs du domaine artistique et culturel ainsi qu’à ceux de l’événementiel. De l’intermittent du spectacle, un éclairagiste indépendant sans prestation, en passant par un chanteur sans salle, un cuisinier sans contrat, un patron de théâtre sans spectateurs, etc. »

Mais comment ça marche et qui peut bénéficier de cette aide ? « Les indépendants concernés peuvent dès à présent s’inscrire comme membre de l’ASBL sur notre site internet. Une plateforme qui leur permet via un formulaire bien précis d’introduire leur demande pour un soutien financier, humain ou logistique. La plateforme leur permettra également de faire leur promotion et d’échanger leurs idées avec d’autres membres. » Coraide fonctionne avec un comité composé d’un artiste, d’un juriste, d’un expert-comptable et d’indépendants neutres. C’est ce comité qui, sur base de critères définis par l’ASBL, décidera de l’attribution des dons. « Des parrains comme Adrien François du Festival du Film de Comédie de Liège ou encore Agron Billa du traiteur Goosse nous soutiennent dans notre action. Nous organiserons par la suite des manifestations dans le but de récolter des fonds. » À noter que cette ASBL liégeoise a vocation de venir en aide aux indépendants de Wallonie et de Bruxelles à court, moyen et long terme. Intéressés ? Vous pouvez dès à présent introduire votre demande sur le site www.coraide.be.

VINCENT ARENA dans LA MEUSE BASSE-MEUSE du 11 mai 2020.

Qui reconnaît quelqu’un sur cette photo?

Josiane Richard, soeur de Ghislain (Rhéto 1968) a publié cette photo sur Facebook pour tenter de dater la photo et d’identifier ceux qui entouraient son père, Willy Richard (Rhéto 1935) sur cette photo.

Elle précise que Willy Richard a été prisonnier de guerre de 1940 à 1945 et qu’il a enseigné au Collège Saint-Hadelin et à Milmort après la guerre.+

+ Willy Richard (ici en 2005) apportait son violon à chaque fête de l’amicale.

Renaud Rutten (Rhéto 1979) fête ses 30 ans de scène politiquement incorrects

Un spectacle d’humour d’1h45 sans entracte avec des blagues, des extraits rejoués et un récap’ de ses meilleurs sketchs, voilà ce que va proposer Renaud Rutten à Charleroi au (Spirou) Dôme…

Il défend Bigard, pas Gad Elmaleh

Renaud, ce sera une des plus grandes salles où vous vous serez produit, non ?

J’ai créé ce spectacle au Country Hall à Liège devant 4.700 personnes. C’est comparable, mais si je fais 3.500 personnes à Charleroi, je serai ravi.

C‘est vos 30 ans de scène que vous fêtez ?

C’est long, j’ai 56 ans, je deviens vieux, mais ce ne sont pas encore mes adieux !

Le meilleur et le pire moment de votre carrière ?

Des bons moments, il y a eu notamment à l’époque où j’ai gagné le Festival du rire de Rochefort. Le pire, c’était une fois à Welkenraedt, je faisais une pièce pour un homme seul qui s’appelait « La solitude du gardien de but ». Je m’étais bien amusé à mettre en scène ces 2X45 minutes entrecoupées par une mi-temps avec un faux gazon sur scène et tout… Mais une pièce dramatique alors que j’étais dans « la bande de Contact » à la radio, ben, les gens ne m’attendaient pas là. Je ne l’ai jouée que deux fois, cette pièce… Ça arrive de tomber mal, c’est comme quand Pirette s’est mis à la chanson.

Encore le sentiment d’être cantonné à un style ?

Pas du tout. Là, j’ai mûri. Après, j’ai fait un truc sur les rapports entre un père et une fille ou une comédie policière interactive où les gens me font évoluer dans l’enquête au moyen de leur boîtier. Sans problème : les gens sont maintenant avec moi, même si le spectacle n’a pas la vocation à être drôle. Entre-temps, j’ai fait plein de trucs, comme « Braquo » ou « Zone blanche » à la télé, et des petits rôles dans « Dikkenek » ou « Le petit Nicolas».

Là, ça s’appelle « Mégalo Man Show ». Pour qu’on ne vous reproche pas… d’être mégalo ?

C’est pour me foutre de ceux qui en sont de vrais. Les humoristes, on n’a pas inventé une fusée non plus. Il faut de l’autodérision. Je me pointe sur une petite Honda dont le moteur ne va pas… à côté de deux potes en Harley!

C’est très belge, ça, non ?

Exactement et je suis fier de ça, je revendique ma belgitude. Rire à ses dépens, un Belge le fait, un Français moins. Mais si les productions françaises s’intéressent de plus en plus aux acteurs belges, c’est aussi pour ça : on est moins « divas ».

Avez-vous le sentiment d’être aussi libre qu’avant ?

Monter sur scène, c’est un métier à risques, on n’est pas pilote de F1, mais on n’est pas comptable non plus. Quand on travaille avec une scie, il arrive qu’on se coupe ! Ce qui a changé, c’est les réseaux sociaux : certains profitent lâchement de l’anonymat pour déverser de la haine. On a traité Bigard de « porc » pour une blague qu’Alain Soreil et moi, on raconte aussi. Il m’arrive à présent de faire signer une charte à ceux qui viennent de me voir où ils s’engagent par exemple à ne pas porter plainte contre moi ou à ne pas m’en raconter une bien bonne après le show. C’est sur le ton de l’humour, mais ça dit quelque chose de notre époque. Ça fait référence aussi à ce qui est arrivé à Jean-Marie Bigard ou Laura Laune. On ne doit pas aller dans le politiquement correct, l’assistanat social et le regain de pudibonderie… Mais je reste persuadé quand je regarde le Grand Cactus que la liberté de ton, on l’a, faut juste la prendre.

L’autre grande question, c’est le plagiat. Qu’on cherche des poux à Gad Elmaleh, vous comprenez ?

Oui. On n’est pas des millions à faire ce métier ! C’est quand même dommage d’aller piquer des idées sans le dire. Moi aussi je raconte une blague de Coluche, mais je le dis ! On ne peut pas monter un meuble Ikea et puis prétendre être ébéniste, ça va pas ! Bien sûr, les spectacles de blagues, on sait ce que c’est, jamais je n’ai déposé une blague ! Et je n’ai aucun droit d’auteur dessus, normal, c’est un spectacle que j’ai écrit, mais qui est influencé par les autres…

SAM CHRISTOPHE dans LA MEUSE VERVIERS du 10 septembre 2019.

60 ans de sacerdoce

Etienne van den Peereboom, notre ancien professeur au Collège Saint-Hadelin, devenu il y a 15 ans curé de campagne à Remicourt, après 40 années passées à Visé au Collège d’abord, puis comme doyen, a été fêté ce dimanche à Donceel.

Soixante années passées au service des autres. Félicitations, Monsieur le Curé! Bel office, belle réception… à votre image, ambiance chaleureuse, conviviale et en toute simplicité! Merci, Monsieur le curé, et bonne continuation! (Gene Bernard, présidente du CPAS de Donceel).

Nous cherchons des photos des anciens de 1969, 1994 et 2009 pour le prochain numéro de l’UNION.

A l’occasion de la prochaine fête de l’amicale, le 27 avril prochain, nous honorerons spécialement les anciens sortis en 1959 (60 ans), les jubilaires de 1959 (50 ans), les anciens sortis en 1994 (25 ans) et 2009 (10 ans).

Dans le numéro 255 de l’UNION, nous avons publié des photo des « latinistes », mais nous n’avions rien des « scientifiques ».

Charles De Flines (1ère Sc. 1959) nous a transmis une photo d’une partie de sa classe. Nous en cherchons d’autres. Elles peuvent être envoyées par courriel à Ghislain Levaux.

Sur la photo au 1er rang de gauche à droite : José HERMAN, Charly De FLINES, Francis PAULY+, Gérard GIELEN et derrière, Jean-Marc THIRY, Alain DELADRIERE+, Lambert PEETERS, notre titulaire, l’Abbé CASTIAU, et Claude GIERKENS.

VAGABONDAGES EN IRLANDE D’UN DILETTANTE, EXCEPTIONNEL BUVEUR DE GUINNESS

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Notre ami Christian Spits nous informe de la parution de son nouveau livre intitulé

« Vagabondages en Irlande d’un dilettante, exceptionnel buveur de Guinness ».

Quand le choix d’un sujet de reportage audiovisuel évolue vers une passion, quand un dessein de carrière se devant structuré se transforme en une suite d’errances à la fois physiques ou oniriques, quand on en arrive à délaisser l’ambition d’enchaîner de multiples projets pour exclusivement se vouer à une thématique si proche, mais unique, au point de changer de modes d’expressions au fil du temps…
Au travers de quarante années de moments privilégiés, de bonheurs partagés avec l’Irlande et les Irlandais, par le biais d’anecdotes joyeuses, douces‑amères parfois, mais empreintes de poésie et foisonnantes de cette mystagogie à laquelle même d’irréductibles rationalistes ne tardent guère à succomber en Erin et qui reste éternellement ancrée dans les âmes et dans les cœurs, l’auteur vous propose de vivre en sa compagnie la MAGIE DE L’IRLANDE.
Prix : 23,00 €
 

Un nouveau venu au CPAS de Dalhem

Alex Woos (Rhéto 1967) n’a jamais fait de politique de sa vie

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Il a été décidé, lors du dernier conseil communal à Dalhem, de remplacer Carine Laduron-Deleu au poste de conseillère au CPAS. Ce sera un homme, Alex Woos, qui prendra le relais. Rencontre avec ce nouveau-venu dans la sphère politique dalhemoise.  
Alex Woos s’apprête à devenir un membre actif au CPAS à Dalhem. Un nouveau défi pour cet ancien enseignant.  « Je suis né à Maastricht, aux Pays-Bas, le 17 juillet 1949 et j’habite actuellement à Warsage » , lance-t-il en guise de présentation, confirmant des informations envoyées par son collègue de parti, Loïc Olivier.  « Je suis licencié comme traducteur (anglais et néerlandais) de l’ISTI (institut supérieur de traducteurs et interprètes) à Bruxelles. Pour être précis, j’ai été enseignant durant 33 années à Eupen : j’apprenais l’anglais et le néerlandais à mes élèves ». 
S’il a accepté de travailler au CPAS, pour le compte du mouvement Renouveau, c’est parce qu’il estime qu’en tant que pensionné, il a une dette envers la société. Le CPAS lui semble ainsi une bonne manière d’acquitter celle-ci. « En fait, je suis pensionné depuis l’âge de 58 ans », reprend-il.  « Et, pour être honnête, je peux affirmer que je n’ai pas eu une vie professionnelle très compliquée. Certes, je ne m’intéressais pas, au départ, à la politique. Mais comme je n’ai pas de couleurs précises, je me suis dit que cela pourrait être intéressant de me lancer. Pour l’instant, je n’ai participé à aucun conseil du CPAS. Ce que j’attends avec énormément d’impatience, c’est de découvrir les problèmes au quotidien de certaines personnes et de pouvoir me concentrer sur certains cas ». 
Une chose est sûre, la culture de ce Dalhemois devrait l’aider à prendre les bonnes décisions.  « Je n’ai pas encore prêté serment, ce sera probablement pour le prochain conseil communal. Je dois en effet m’y rendre », ajoute-t-il avant de nous en dire davantage sur ses passions. « Mes hobbies sont variés : je suis moniteur de tennis et sauveteur. Je suis également passionné par la musique. Je joue d’ailleurs de la guitare, du piano et de l’accordéon. Je suis un vrai tintinophile. J’adore aussi les animaux et je lis beaucoup de livres sur l’éthologie, à savoir le comportement animal et humain. De surcroît, je suis un vrai sportif : outre le tennis, je pratique de la natation et cours des joggings ». 
On peut également affirmer qu’Alex Woos est un adepte de l’humour, ce qui est pratique en politique. « J’apprécie plus particulièrement l’humour anglais (Monty Pythons)  », conclut-il avec le sourire.
 
YANNICK GOEBBELS (Rhéto 2006) dans LA MEUSE BASSE-MEUSE du 7 avril 2017

Anaïs Droeven, Rhéto 2001

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Cette semaine dans Flair, on vous disait de foncer au Colonel, tout nouveau resto bruxellois, qui met le bœuf de qualité à l’honneur. L’occasion de cuisiner sa boss, Anaïs, qui jongle entre vie de maman et job prenant.

Être une maman disponible, une nana bien dans ses baskets, tout en s’investissant professionnellement, c’est un exercice de haute voltige. Que certaines maîtrisent comme des chefs. Anaïs Droeven fait partie de cette bande-là. Ex-mannequin passée par la comm’, et maman de deux petites filles, elle a ouvert le restaurant « Colonel » avec son conjoint, en décembre 2014.

Montrer à ses enfants que leur maman travaille est une forme d’éducation en soi. 

Un commandement pour rester « une bonne mère » quand on bosse 70 h/semaine?

« La base, c’est de savoir jongler avec un planning. Ensuite, il faut accepter de faire des sacrifices le temps qu’il faut. J’ai un rythme professionnel soutenu, mais je sais que c’est une période de ma vie. À part le travail et les enfants, pour le moment, je ne m’octroie pas beaucoup de sorties, mais je l’assume. Et puis, je suis d’une école assez pragmatique qui pense que montrer à ses enfants que leur maman travaille est une forme d’éducation en soi. C’est l’apprentissage par l’exemple: ‘Maman bosse beaucoup, mais tu vois, ma petite puce, il faut beaucoup travailler si tu veux réaliser de belles choses, quelles qu’elles soient.’ Chez nous, c’est assez studieux, l’air de rien, mais dans la bonne humeur et avec du plaisir. » 

Ce qui se passe au resto, reste au resto!


Un commandement pour protéger son couple quand on bosse en duo?

« Ne pas importer les problèmes du boulot dans son ménage. Dans notre cas, ce qui se passe au resto, reste au resto. Essentiel aussi: se garder deux jours par semaine sans travailler, même si ce ne sont pas les mêmes jours que les autres… Pour vivre une vie de famille paisible et une vie de couple complètement normale. Concrètement, il faut savoir couper son téléphone, éteindre son PC et penser juste à autre chose qu’au boulot, devant un bon DVD, par exemple. »

Avoir un état d’esprit positif face à la vie permet d’avoir les traits moins marqués, j’en suis convaincue.

Un commandement pour afficher une peau de pêche malgré les petites nuits?

« Je ne vais pas mentir, je suis fatiguée. Pour recharger mes batteries, j’abuse du thé, des tisanes et d’eau fraîche. Je conseillerais de s’oxygéner dès que possible, de dormir dès que faire se peut, mais surtout, d’avoir un état d’esprit positif face à la vie. Ça permet d’avoir les traits moins marqués, j’en suis convaincue! »


L’article ci-dessus de Lauranne Lahaye a été publié dans FLAIR le 10 février 2015. J’ajoute ce mot de la maman d’Ariane de ce jour sur son compte Facebook: « Oui Facebook merci de me rappeler qu’il y déjà 2 ans qu’Anaïs et Benoit ont ouvert leur fameux Colonel et continuent à agrandir leur famille…un bébé pour juillet! Pas de quoi s’ennuyer! Nous sommes fiers et admiratifs pour leur volonté et leur courage! Et super contents d’être encore un fois grands-parents! »

Rhéto 1982 et producteur de vin

Liège tourisme propose 4 routes des saveurs. L’une de celles-ci est consacrée au vin et nous y trouvons le Domaine Vignoble des Marnières de notre ami Rhéto 1982 Benoît HEGGEN.

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Type(s) de vin(s) : Blanc – Rouge – Rosé – Liquoreux (méthode vin de paille)

Cépages : Pinot Noir, Pinot Gris, Chardonnay, Gewürztraminer, Siegerrebe

Professionnel de la culture fruitière, le maître des lieux travaille ses 8000 pieds de vigne dans le respect du terroir et du cépage. Et s’il se retranche derrière un modeste « in vino veritas » qui sonne comme une invitation, prêtez-lui une oreille attentive lorsqu’il vous parlera, avec passion, de la typicité de chaque cépage, ou de la meilleure manière de déguster son vin liquoreux : avec un fromage de Herve !

Visites : sur RDV, de mi-juin à fin août – Minium 10 personnes – 6€/p – Week-end dégustation fin juin et le 1er week-end de juillet si le stock le permet.

Langues : FR – NL

Vente : oui.

Vendanges : non.

Contact

Adresse : Rue du Colonel D’Ardenne – 4608 DALHEM (Aubin-Neufchâteau)

Adresse mail : benoit.heggen@gmail.com

Personne de contact : M. Benoît HEGGEN, +32 (0)479 25 50 15