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Décès de Monsieur Marcel REUL, époux de Madame Jeannine MARTINELLI

La famille annonce le décès de Monsieur Marcel REUL, époux de Madame Jeannine MARTINELLI, né à Hombourg le jeudi 13 avril 1939 et décédé à Hermalle-sous-Argenteau le jeudi 20 mai 2021 à l’âge de 82 ans.

Il s’agit du père de Bénédicte (Rhéto 85), Anne (Rhéto 86) et Bernard (Rhéto 88) et du grand-père d’Astrid (Rhéto 2013), Jean (Rhéto 2015), Hélène (Rhéto 2018) et Loïc RENOUPREZ (Rhéto 2020).

L’Evangile de l’Ascension commenté par Etienne van den Peereboom

 J’espère qu’il vous plaira ! J’aime vos réactions ( vdp.etienne@belgacom.net ).

 MARC 16, 15 – 20  :  L’ASCENSION 

– Ce texte est la finale de l’Evangile de Marc, mais celle-ci n’est pas de lui.

– 3 parties dans ce récit :  1) Jésus envoie ses apôtres en mission (v 15-18)

                                              2) Brève évocation de l’Ascension de Jésus (v 19)

                                              3) Courte photo de l’entreprise missionnaire (v 20)

1)- L’ENVOI EN MISSION (v 15 – 18) :

  C’est JESUS qui ENVOIE. Ce n’est donc pas une initiative des apôtres. Jésus leur confie une mission qui les dépasse. Mais Il est avec eux ! (1)  Il leur CONFIE SON EVANGILE. Qu’en avons-nous fait ? Ce qui caractérise cet envoi, c’est son UNIVERSALITE : « Allez dans le monde entier », il faut annoncer l’EVANGILE à toute l’humanité (2).

     Quelle est cette BONNE NOUVELLE ? Il s’agit d’un message de LIBERATION et d’AMOUR (3.)

     L’Evangile relate le sort contrasté entre ceux qui adhèrent à ce message et ceux qui n’adhèrent pas

    Le terme condamner signifie que ces derniers ratent la chance de leur vie, quelle occasion manquée car Jésus n’a jamais condamné personne !

    Les SIGNES  qui souligneront la fécondité de leur travail sont exprimés selon la mentalité de l’époque. On parlerait aujourd’hui de communautés aimantes, vivantes s’occupant des malheureux, luttant contre tout ce qui empoisonne notre société.

2)- L’ASCENSION DE JESUS ( v 19)

 Cette Ascension est présentée selon la mentalité biblique de l’époque (4). Ce texte reprend la façon de Luc évoquant le départ de Jésus (24,51 et AA 1,9). Il ne faut évidemment pas matérialiser cette belle image (5).

Jésus rejoint son PÈRE dans cette VIE en PLENITUDE, dans cette JOIE PROFONDE de ce monde nouveau  qu’il n’a cessé d’annoncer durant sa vie en Galilée et en Judée.

Jésus s’assit « à la DROITE de DIEU » : cette expression est symbolique, elle signifie que Jésus devient le ROI, le BERGER, le CHEF, le SEIGNEUR de son peuple.

3)- EVOCATION DE l’ACTIVITE MISSIONNAIRE (v 20)

 Le v 20 rapporte la façon dont les 11 s’acquittent de la MISSION que Jésus leur a confiée. Il s’agit d’une synergie entre le RESSUSCITE et les disciples. Jésus ne les laisse pas seuls : « Il agissait ave eux et confirmait leur parole » par des signes évoquant la réussite de leurs semailles.

Aujourd’hui, c’est à nous de DISCERNER les SIGNES de la PRESENCE de Jésus agissant avec nous.

  • Quels SIGNES le monde attend-il de nous ?
  • Qu’est-ce qui aujourd’hui peut faire SIGNE ?

PEUT-ON SE REJOUIR DU DEPART DE JESUS ? – OUI, car :

  • Si Jésus est parti, c’est pour être présent AUTREMENT. Quand Il vivait en Palestine, Il était limité dans l’espace et le temps. Il disparaît physiquement pour être présent à chacun de ses frères et sœurs.
  • Ce texte jette une lumière nouvelle sur la fin de notre vie ici-bas. Jésus rejoint son PÈRE BIEN- AIME. Nous ferons un jour la même expérience. Ce sera une ELEVATION, une TRANSFIGURATION. Nos ancêtres grecs et romains – les pauvres – imaginaient une descente aux enfers, au triste royaume des morts !

REFLEXION

Dans l’Evangile, il est souvent question des SIGNES que Jésus nous fait pour nous sensibiliser au MONDE NOUVEAU qu’Il vient nous annoncer :

SIGNE de Cana, SIGNE de la multiplication des pains, SIGNE de l’aveugle-né guéri par Jésus,

SIGNE de Lazare ramené à la vie par Jésus. (Evangile de Jean)

  • Quel signe Jésus me fait-Il aujourd’hui ?
  • Comme souvent, dans l’Evangile, on en revient à la PRESENCE REELLE, VIVANTE de JESUS 

RESSUSCITE à nos côtés. C’est une des découvertes de la PRIERE !

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  1. Nous ne sommes jamais seuls, Jésus est toujours là !
  2. Ai-je conscience que j’ai une mission à remplir ici-bas ?
  3. Comment est-ce que j’annonce le joyeux message de Jésus ?
  4. Beaucoup de peintres ont représenté cette montée de Jésus vers le ciel.
  5. Mathieu et Jean parlent simplement de la disparition visible de Jésus

Décès de Monsieur Hubert LECLERC

La famille annonce le décès de Monsieur Hubert LECLERC, époux de Madame Marthe NICOLAYE, né à Gemmenich le mercredi 10 mars 1937 et décédé à Aubin-Neufchâteau le lundi 15 mars 2021 à l’âge de 84 ans.

Monsieur Hubert LECLERC est le beau-père de Pierre DEWEZ (Rhéto 1978), grand-père de Céline (Rhéto 2002) et Arnaud (Rhéto 2003) DEWEZ, d’Anne-Françoise LECLERC (Rhéto 2009), de Maxime (Rhéto 2010) et Julie (Rhéto 2014) DODEMONT.

Décès de Monsieur Joseph BELLEFLAMME (Rhéto 1947)

Vétérinaire, échevin honoraire de Theux, né à Aubin-Neufchâteau le 5 novembre 1928 et décédé à Polleur le 11 mars 2021.

Serge (Rhéto 1977) et Joseph (Rhéto 1947) BELLEFLAMME

Aujourd’hui s’en est allé un très brave homme.

Mon oncle, ami et confrère, le vétérinaire Joseph Belleflamme est décédé à l’âge de 91 ans à Polleur. Homme au grand coeur, vétérinaire de campagne comme on n’en fait plus, originaire d’ Aubin-Neufchâteau, il a fait toute sa vie professionnelle à Polleur où sa porte était toujours ouverte. En dehors de toutes ses qualités que je ne citerais pas ici, il a toujours été très proche et respectueux de ses concitoyens, de ses clients, de tous ceux qu’il rencontrait. Il est parti rejoindre son fils Roger décédé beaucoup trop jeune ainsi que tous ses nombreux amis déjà disparus.

Il y a des personnes qu’on a toujours beaucoup de bonheur à rencontrer et avec lesquelles on peut discuter de tout sympathiquement, sereinement, amicalement. Il était de celles-là.

« Puisque tu appréciais beaucoup les moments partagés autour d’une bonne bière, ce soir, j’en boirai une, non plus à ta santé, mais à ta mémoire.

Repose en paix, « mononc » Joseph. »

Serge BELLEFLAMME (sur Facebook)

Le billet de Jean-Pierre

Jean-Pierre HENQUET

Consécutivement à son intervention dans l’Union de juin dernier, notre ami Jean‑Pierre Henquet a accepté de nous livrer à chaque parution un petit billet d’humeur, d’humour, sinon les deux. Il nous livre cette fois sa réflexion avec le recul que lui autorise son statut de jeune enseignant aujourd’hui retraité.

Les Woltèche de Visé une famille, six musiciens

Nous avons annoncé il y a quelques jours le décès de Monsieur Joseph WOLTÈCHE. En consultant les documents de travail de Nica COLSON, ancien responsable de l’UNION, j’ai retrouvé un article publié le 8 janvier 1988 à propos de la famille Woltèche. J’ai ajouté des hyperliens montrant l’actualité récente de chacun des quatre « enfants ».

Vous avez tous en mémoire le fameux film «La mélodie du bonheur», qui a fait le tour du monde et dans lequel une famille autrichienne – les von Trapp – dotée de nombreux enfants chante en concert des airs populaires. La famille Woltèche, de Visé, dépasse cette sympathique tribu de deux longueurs : ici, tous les membres jouent de plusieurs instruments et, s’ils se produisent en concert, c’est pour donner à entendre un répertoire classique. Chez les Woltèche, on vit pour et par la musique !
C’est une histoire qui commence bien. Anne-Marie, Autrichienne, professeur de français dans son pays, est venue perfectionner, dans le nôtre, la connaissance de cette langue. Elle rencontre Joseph, lui aussi professeur de français. Ils se trouvent vite d’autres points communs. Ainsi, ils sont tous deux passionnés par la musique, au point d’avoir étudié certains instruments et de les pratiquer.

AUTRICHE.
Anne-Marie a étudié le violon en Autriche. Joseph, lui, c’est l’orgue. En point d’orgue de leur rencontre, ils se marient et font… quatre petits musiciens !
La vaste maison bourgeoise, qui abrite toute la famille dans une rue calme de Visé, est tout à fait désuète. Franchir le seuil de la porte, c’est entrer hors du temps. On oublie vite l’autoroute si proche pour se laisser pénétrer par une atmosphère surannée. Pianos, vieilles gravures, livres anciens, gravures, orgues, violons, flûtes, le tout donnant l’impression d’être saupoudré par la poussière, en tout cas par le temps.
Aujourd’hui, Joseph Woltèche est toujours professeur de français et inspecteur dans l’enseignement général. Il enseigne également l’orgue à l’Académie Grétry à Liège.
Quant à Anne-Marie, elle réalise, depuis quelques années, des animations et des activités d’éveil en milieu scolaire. Mais d’abord, naturellement, elle s’est occupée de ses quatre enfants !
«J’ai commencé à les faire travailler à l’âge de six ans, explique-t-elle. Comme ils étaient trop jeunes pour aller dans une académie, ils ont commencé à la maison. Et comme je pratiquais moi-même le violon, ils se sont mis au violon, sauf Elizabeth qui a demandé à faire de la flûte. Ensuite, comme les autres, elle a appris le violon.»
Don et émulation familiale, ont fait fleurir la musique dans cette famille peu banale.

PREMIERS PRIX.
Dominique, Elizabeth, Bernard et Michaël ont d’abord fait leurs classes, leurs premières armes, à l’Académie de Visé.
L’aînée, Dominique, entre au Conservatoire de Liège à l’âge de treize ans. Elle va y remporter très vite toute une série de premiers prix. Aujourd’hui, tout en se perfectionnant dans l’étude du violon à l’Académie de La Haye, elle enseigne cet instrument dans une académie de la région bruxelloise.
Elisabeth, elle, a obtenu trois premiers prix au Conservatoire de Liège. Musicienne polyvalente, elle a été sélectionnée pour faire partie de l’ensemble Musique Nouvelle, dirigé par George Octors, ainsi que dans l’Orchestre mondial des jeunesses musicales.
Bernard est en première candidature de droit. Pour faire autrement que ses sœurs ? Que non ! Premier prix (ça devient lassant à écrire) au Conservatoire de Liège, il a été sélectionné au Centre européen d’opéra et d’art vocal à Gand.
Michaël, le benjamin, combine les humanités et la musique à l’Académie de Visé et au Conservatoire de Liège. Il s’est découvert une passion pour le jazz, passion qu’il a transmise au reste de la famille !
Jacqueline REMITS.