Julien Denoël (Rhéto 2008) publie

Julien Denoël est un ancien rhéto du Collège Saint-Hadelin, année 2008.

Il a récemment publié son premier ouvrage, Expat Football Club, aux éditions Memory.

Ce livre compile 12 interviews de joueurs de football belges partis exercer leur métier dans des championnats “exotiques”. Ce n’est pas un livre qui ne parle que de foot puisque les joueurs y racontent leur parcours de vie, comment ils sont arrivés là, mais ils parlent aussi du pays où ils sont maintenant.

Le livre peut être acheté directement sur le site de l’éditeur (https://www.editionsmemory.be/fr/accueil/1079-expat-football-club-9782874134.html) mais aussi à la Fnac (https://www.fr.fnac.be/a17483851/EXPAT-FOOTBALL-CLUB#omnsearchpos=1) et chez Club (https://www.club.be/p/expat-football-club-9782874134012).

Gilbert LESOINNE, ancien directeur et membre du comité de notre amicale, présente un livre sur l’église de Bolland

C’est l’été, est-ce la saison pour découvrir des facettes de notre patrimoine ?. Oui, à voir les dernières publications sorties de presse. Après les livres édités par le musée de Visé sur l’église de Lixhe en juin et sur l’étonnant cimetière de Lorette à Visé  en août ( tous deux vendus au prix modique de 6 €), sort un imposant livre consacré à l’église de Bolland dans l’entité de Herve. C’est  à une collaboration de 9 auteurs que nous devons ce livre de 258 pages et de 307 illustrations ( !) en couleur et en noir et blanc. Chacun dans sa spécialité a répondu présent : Julien de Leval, membre de l’ASREPH et Bruno Dumont, archiviste honoraire,  spécialiste de l’histoire du Comté de Dalhem et du pays de Herve présentent plusieurs articles en collaboration : les 20 ans de sa construction entre 1714 et 1734, le long cheminement de la sauvegarde  de ce joyau (déjà de 1795 jusqu’en 1965). Avec Michel Teheux, Julien de Leval s’intéresse à l’artisanat des bancs de l’église tous différents dans leur décor et plus dans sa spécialité de biologiste, il se penche sur le sort des habitants du clocher de l’église St-Apollinaire : des chauves-souris au joli nom de murins à oreilles échancrées.

Marylène Laffineur-Crepin, conservatrice du trésor de la Collégiale de Huy, aidée par Pierre Bernard a analysé le mobilier antérieur à la reconstruction et dû à celle-ci : les confessionnaux, la chaire de vérité, les autels (certains antérieurs à la reconstruction), les fonts baptismaux, les peintures, les sculptures , le banc de communion, le tribunal d’orgue, le chemin de croix……

Moins fréquent, un article sur les pierres utilisées tant dans la construction, que dans le parement comme par exemple des colonnes et des sols en  marbre mais aussi une variété de pierres dans les dalles ou les croix funéraires ; une partie est bien conservée dans l’église et une autre à l’extérieur à l’édifice.

Gilbert Lesoinne, président de la fabrique d’église de Bolland explique comment la restauration et la mise en valeur évoluèrent des années 50 à maintenant. L’intérêt de la réalisation de ces 3 lots : l’architecture, le chauffage et l’orgue est la découverte de certains patrimoines bien cachés et donc remis au jour. En 2017, de grandes fêtes marquèrent le tricentenaire de l’église. La croix et le coq-girouette marquèrent aussi les habitants du lieu. 
Rappelons que cette église est ouverte tous les dimanches après-midi et vaut le déplacement. Pour tous renseignements : contact 0497285730

Jean-Pierre Lensen (Rhéto 1971), pour le MAHVI 

Nouveau titre de Christian Spits, ancien du Collège

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« Juste pour aller voir », c’est le nouveau titre de Christian Spits chez l’Imagitateur.
« Avec cet ouvrage, revisite du titre “Dure la Vie” aujourd’hui épuisé, Christian Spits a désiré rendre hommage à Lucien Varalta, son “frère ès vagabondages en tout genre” qui, trop tôt, a pris la route pour le voyage absolu… » Lire plus sur « https://www.publier-un-livre.com/fr/catalogue-one/726-juste-pour-aller-voir ».
– avec Luciano Varalta.

VAGABONDAGES EN IRLANDE D’UN DILETTANTE, EXCEPTIONNEL BUVEUR DE GUINNESS

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Notre ami Christian Spits nous informe de la parution de son nouveau livre intitulé

« Vagabondages en Irlande d’un dilettante, exceptionnel buveur de Guinness ».

Quand le choix d’un sujet de reportage audiovisuel évolue vers une passion, quand un dessein de carrière se devant structuré se transforme en une suite d’errances à la fois physiques ou oniriques, quand on en arrive à délaisser l’ambition d’enchaîner de multiples projets pour exclusivement se vouer à une thématique si proche, mais unique, au point de changer de modes d’expressions au fil du temps…
Au travers de quarante années de moments privilégiés, de bonheurs partagés avec l’Irlande et les Irlandais, par le biais d’anecdotes joyeuses, douces‑amères parfois, mais empreintes de poésie et foisonnantes de cette mystagogie à laquelle même d’irréductibles rationalistes ne tardent guère à succomber en Erin et qui reste éternellement ancrée dans les âmes et dans les cœurs, l’auteur vous propose de vivre en sa compagnie la MAGIE DE L’IRLANDE.
Prix : 23,00 €
 

Jean-Pierre Callens (Rhéto 1968)

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Professeur de français retraité de l’agri (ISI), Jean-Pierre Callens est passionné par l’histoire locale. Mais c’est un peu par hasard qu’il s’est penché sur le sort des réfugiés juifs.

Comment avez-vous eu connaissance de l’existence de ce centre?

C’est en lisant un livre sur la Belgique et la persécution des Juifs que j’ai appris qu’il y avait eu ce centre à Marchin. Ensuite, aux archives de l’État, à Liège, j’ai pris connaissance d’archives conservées sous la rubrique «Archives du centre pénitentiaire école de Marneffe».

Au total, combien de Juifs sont passés par Marchin?

On ne sait pas exactement car il y a eu des allées et venues. En recoupant les registres, on sait cependant qu’entre septembre 1939 et le 10 mai 1940, 272 réfugiés sont passés par le centre. Et 115 d’entre eux seront déportés vers Auschwitz…

D’où venaient-ils?

La plupart venaient d’Allemagne qu’ils avaient fui surtout après la nuit de Cristal. D’autres venaient d’Autriche après l’annexion ou encore de Pologne ou de Hongrie. La plupart étaient germanophones.

Outre ceux qui ne sont pas revenus d’Auschwitz, certains ont eu un destin tragique…

Effectivement, lors de l’exode en mai 40, trois d’entre eux quittent la colonne de réfugiés et sont arrêtés à Namur. On les prend pour des espions allemands et ils sont finalement fusillés par les troupes belges.

(Article de Jean-Louis TASIAUX dans L’AVENIR du 12 juin 2015)

Vous pourrez lire les conclusions du livre de Jean-Pierre CALLENS dans le prochain numéro de L’UNION. Quelques exemplaires au prix de 10 euros sont encore disponibles chez l’auteur. Une réédition est envisagée pour 2019 en même temps que la parution du deuxième tome consacré au camp de Marneffe.

Premier roman de Léon PAULUS: “Silences et regards… d’amour”

Léon Paulus (Rhéto 1978)

Capture d’écran 2016-12-28 à 09.57.05.png« Mais comment et combien de temps peut-on respirer une vie sans amour ? Pourrais-je, saurais-je encore permettre à mon cœur, à mon corps d’aimer et d’être aimé ? Quels émois amoureux me réservent donc aujourd’hui et demain ? »

Alors qu’ils vivent une histoire d’amour fusionnelle, Louis choisit brutalement de mettre fin à sa relation avec Romy. Dans le plus grand secret, il organise son départ et disparaît, ne laissant à sa bien-aimée que le vide cruel de questions sans réponse, le cœur à vif. Mais alors qu’elle tente péniblement de tourner la page, Romy retrouve peu à peu sa trace. En amour, les apparences sont parfois plus trompeuses qu’il n’y paraît…

Musicien dans l’âme, Léon Paulus compose sur l’amour une partition complexe et poétique, intense et passionnée. Guidé par les émotions, il explore sa sensibilité exacerbée, fruit de son quotidien comme de son imagination. Empreint d’une sincérité humaine, son récit est celui du sentiment, tout simplement.

L’avis de l’éditeur

Ce premier roman est définitivement celui de l’émotion : chantre de l’amour, Léon Paulus imagine une palette de sentiments qui s’accordent en un récit aussi dramatique que contemporain. La passion n’a pas fini de faire couler l’encre…

Date de parution : 15 juillet 2016

Prix public : 19,90€

Pages : 240

Collection : Roman ISBN : 978-2-7547-3258-1

Le livre est disponible sur les sites de la Fnac, d’Amazone ainsi que de la maison d’édition (Editions du Panthéon) et dans toutes “les bonnes” librairies (aujourd’hui sur commande).

L’auteur en possède bien évidemment en son domicile (Rue de Maestricht 56, 4600 VISE, Gsm : 0479730802 – leon.paulus@skynet.be).

Le nouvel opus de Christian Spits

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Son originalité consiste non seulement dans son contenu, mais aussi dans le fait qu’il a été conjointement imaginé et écrit tant en français qu’en wallon de Liège, celui appris de mes grands-parents.
De ces vœux à expédier, auxquels j’ai pensé début novembre, est née l’idée, puis l’envie, ensuite le besoin de réaliser un petit recueil du même acabit sur le sujet de Noël.
Sitôt rêvé, pas aussitôt fait ! Mais après un mois et demi de travail forcené (il me fallait aussi achever trois articles pour l’Union), j’ai le plaisir de vous annoncer que cet opus devrait sortir de presses ce mardi 20 décembre prochain (le conte que je vous envoie s’y trouve, tout comme celui de l’année dernière). 
Il s’agit d’un tirage limité (100 exemplaires — 64 pages au format 12×21 cm, papier 160g) dont une bonne cinquantaine sont déjà réservés. Vous y trouverez quelques savoureux récits, parfaits antidotes pour les personnes sujettes au spleen de Noël et/ou rieuses anecdotes pour les autres.
Si l’un d’entre vous est intéressé, un petit mail et on arrange ça !
Ne traînez pas, il est peut-être encore tout juste temps pour en déposer un sous le sapin !

Christian Spits

L’ancien de Saint-Hadelin qui nous a fait connaître Raoni

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En 1977, Jean-Pierre Dutilleux (Rhéto 1967) fait connaître au monde le sort des Indiens d’Amazonie, à travers son film «Raoni», sélectionné à Cannes. Par la suite, le cinéaste et photographe belge aidera le Capture d’écran 2015-07-25 à 09.57.17.pngchef à se procurer des armes pour défendre sa forêt. Originaire de Malmedy, il a arpenté la planète pour filmer des tribus isolées, et témoigner de leur culture, parfois avant qu’elle ne disparaisse. Cela a été le cas du peuple Asmat (Indonésie) qui n’est plus que l’ombre de lui-même lors d’un second documentaire 25 ans après. De la Nouvelle-Guinée au Montana en passant par Madagascar, l’auteur raconte quatre décennies d’aventures parfois dangereuses et de découverte de l’autre.

Cinéaste et photographe spécialisé dans le reportage ethnographique, Jean-Pierre Dutilleux a grandi à Malmédy en Belgique. A 23 ans, caméra au poing, il partage au cœur de la forêt amazonienne la vie des Txucarramae, une tribu hostile d’indiens Kayapos. Diffusé sur la BBC en 1976, « Xingu, the White man is coming » , son premier film, témoigne de sa rencontre avec le chef Raoni et révèle au monde des tribus jamais filmées.  

Fasciné par la personnalité charismatique du leader indien, il lui consacre en 1978 un long-métrage autour du thème de la destruction de la forêt amazonienne et du génocide des dernières tribus indiennes. Le documentaire « Raoni » , commenté par Marlon Brando , est nominé aux oscars 1979 et vaut à son auteur une réputation internationale.

Capture d’écran 2015-07-25 à 09.59.24.pngC’est alors le début d’un engagement sans précédent pour la cause indigène. Sensibilisé au problème de la destruction des forêts tropicales, le chanteur et musicien Sting a accompagné J.-P. Dutilleux dans un de ses séjours en Amazonie. Ensemble, ils créèrent des Fondations (« RainForest » et «Forêt Vierge») dans douze pays. JP Dutilleux et quelques amis organisent une tournée mondiale avec le chef indien Raoni en 1989, au cours de laquelle il rencontre les grands de ce monde (François Mitterrand, Jacques Chirac, le Prince Charles, le Prince Albert de Monaco, Juan Carlos roi d’Espagne, Jean-Paul II…).

Passionné, depuis son premier contact avec les peuples du « Monde Premier » (nom générique qu’il préfère pour nommer l’ensemble des tribus indigènes), Jean-Pierre Dutilleux consacrera désormais sa vie à la cause. Il filmera les ethnies menacées dans les lieux les plus reculés (Papouasie, Philippines, Afrique, Indonésie, Amazonie… ) et organise des campagnes internationales afin de préserver leur culture séculaire.

Au cours de ses années de lutte pour la forêt et pour les Peuples Premiers, Jean-Pierre Dutilleux réalise un important travail de témoignage , une trentaine de films dont une douzaine en Amazonie et publie six livres.