Julien Denoël (Rhéto 2008) publie

Julien Denoël est un ancien rhéto du Collège Saint-Hadelin, année 2008.

Il a récemment publié son premier ouvrage, Expat Football Club, aux éditions Memory.

Ce livre compile 12 interviews de joueurs de football belges partis exercer leur métier dans des championnats “exotiques”. Ce n’est pas un livre qui ne parle que de foot puisque les joueurs y racontent leur parcours de vie, comment ils sont arrivés là, mais ils parlent aussi du pays où ils sont maintenant.

Le livre peut être acheté directement sur le site de l’éditeur (https://www.editionsmemory.be/fr/accueil/1079-expat-football-club-9782874134.html) mais aussi à la Fnac (https://www.fr.fnac.be/a17483851/EXPAT-FOOTBALL-CLUB#omnsearchpos=1) et chez Club (https://www.club.be/p/expat-football-club-9782874134012).

Joueurs de football et de première division issus du CHSV dans les années 50-60.

Sur le Blog de l’amicale des anciens du collège saint-Hadelin à Visé, vous publiez une page qui évoque l’ancien élève Roger Claessen. Nous qui, comme José Henry ou Valère Henry, étions au collège à cette époque, nous nous souvenons.

Roger Claessen était vraiment un « Roger-la-Honte ». On oublie de le dire, il s’est suicidé à l’âge de 41 ans : « L’ancien attaquant du Standard de Liège Roger Claessen, décédé en 1982, s’était suicidé. C’est une overdose qui a signé la mort du joueur dans une sinistre cave du centre de Liège. » Et il avait un talent fou.

Mais, à cette époque, il y a eu au CHSV, des joueurs de football très talentueux. Selon mes souvenirs, parmi les joueurs qui ont joué en première division, j’en compte au moins six.

Il y a ceux qui ont terminé leur secondaire au CHSV.

Valère Henry, de Juprelle, né en 1937, promotion scientifique A, 1956.

Ingénieur civil (phys.) ULg 1982. Avait épousé une princesse iranienne dont il a divorcé. A joué au Standard de 1958 à 1961.

Paul Henry, de Bombaye, né en 1936, promotion gréco-latines, 1956. Instituteur. A joué à Saint-Trond .

Il y a ceux qui sont passée par le CHSV, mais ne sont pas allés jusqu’au bout du cursus.

Jules Henry, Bombaye. Il suffit d’interroger son frère Paul.

Léon Semmeling, né en 1940 à Mouland. Le plus brillant et le plus courtois des joueurs de toute l’histoire du foot belge.

Léon Semmeling

Émile Lejeune, né à Warsage en 1938. A joué su Standard et au RFCL.

Lucien Spronck, né à Fouron-le-Comte en 1939, y est décédé en 1989. A joué au Standard et Liège et au FC de Charleroi.

Guy Belleflamme (Rhéto 1956)

Ghislain Levaux (Rhéto 72) me signale qu’on peut déjà y ajouter:

Jacky Debougnoux (rhéto 72), de Fourons, a joué au F.C. Liégeois puis au F.C. Bruges.

Olivier Doll (rhéto 92), d’Eben-Emael, a joué à Seraing, puis Anderlecht et Lokeren + équipe nationale (6 matchs).

Il y a aussi un joueur toujours actif (passé par le Collège mais rhéto 2002 au Sacré-Cœur). Il s’agit de Guillaume Gillet de Visé, passé respectivement par FC Liège, RCS Visé, AS Eupen, La Gantoise, Anderlecht, Bastia, FC Nantes, Olympiakos, RC Lens et joue, actuellement, à Charleroi. Il compte également 2 sélections en équipe nationale espoirs et 22 sélections en équipe nationale !

Joseph Vanderweckene (Rhéto 1964) n’a pas oublié  Julien Onclin qui a joué au RFC liégeois et qui fut un vraie promesse dans les catégories jeunes même sur le plan de l’équipe nationale des jeunes . Promesses qui ne se sont toutefois pas concrétisées….

Bernard Smeets (Rhéto 1992) s’adapte au confinement

Le confinement lié à l’épidémie de coronavirus a de fortes répercussions sur les footballeurs, sevrés de match et d’entraînement depuis 3 mois. Certains ont continué à s’entraîner individuellement ou collectivement en virtuel via un programme proposé par leur staff technique. Par contre, d’autres non quasi plus fait de sport… Tout cela aura donc un impact sur l’état physique des joueurs à la reprise et sur les performances futures en championnat.

L’entraîneur devra donc composer avec des joueurs en forme et d’autres hors de forme. Le désentraînement entraîne une perte de la masse musculaire, une augmentation de la masse grasse et une diminution des capacités sportives.

Comment donc aborder cette reprise en tenant compte de ces données et ainsi éviter les blessures ? Comment réussir la préparation physique de votre équipe pour la reprise ?

(Plus d’informations dans l’article de YOUNG KRUYTS dans LA MEUSE du 8 janvier 2021).

José Riga (Rhéto 1975), une expérience unique à l’AC Milan

José Riga est tellement identifié à Visé, qu’on en oublierait le périple effectué par celui-ci avant de revenir aux sources de sa passion. Personne n’a oublié son passage au Standard ou à Mons. Ce que par contre le grand public ignore c’est ce que fut sa tâche au Milan AC. Car oui, il a œuvré pour le géant lombard.

D’une page de DANIEL RENARD à lire dans LA MEUSE BASSE-MEUSE du 27 octobre 2020

François SMITS, en P1 à Aubel, Rhéto 2019

À 18 ans, l’Aubelois Smits est devenu un titulaire indiscutable au back gauche. Il rêve de tour-final pour gagner en expérience.

Il avait fait ses débuts avec l’équipe première d’Aubel il y a deux ans lorsque Michel Remacle était allé le chercher chez les Espoirs. Depuis lors, le jeune François Smits à peine est devenu titulaire au sein de la défense aubeloise. «J’ai été formé comme numéro 10 mais depuis que j’ai rejoint l’équipe première je joue comme back gauche. C’est une place où il y a moins de concurrence et comme je suis gaucher, cela aide.» S’il n’a manqué qu’un seul match cette saison (pour cause de suspension), le numéro 5 des Verts estime qu’il doit encore progresser. «Notamment défensivement, précise le jeune homme de 18 ans. Je dois m’améliorer au niveau du placement et du jeu dans mon dos. Je suis naturellement plus porté sur le jeu vers l’avant et j’essaye d’apporter un plus offensivement mais je dois devenir plus solide derrière.»

Avec son mètre nonante, François en impose. Et si son club est invincible à domicile (en championnat) cette saison, c’est aussi en partie grâce à lui. «On ne s’en était même pas rendu compte jusqu’à il y a peu, reconnaît-il. Mais depuis, on se donne encore plus pour garder jusqu’à la fin du championnat cette invincibilité. Pourquoi on est plus solides à domicile? Difficile de répondre à cette question. Peut-être que chez nous, dans nos installations et devant nos supporters, on est plus sereins.»

Avec les trois points obtenus dimanche contre Ster, les Aubelois peuvent maintenant se rassurer quant à leur maintien. Ils peuvent même viser plus. «Le tour-final? On y pense, bien sûr. On va clairement jouer notre chance à fond. Nous sommes pas mal de jeunes dans l’équipe à n’avoir jamais vécu des matchs de tour final et ce serait super d’y participer. On y gagnerait beaucoup en expérience.»

Pour cela, il reste quatre matchs à jouer, quatre matchs à gagner, dont le prochain à Dison que François manquera. «Je serai voyage de rhéto à New York», sourit-il. Un motif donc bien compréhensible mais qui obligera son coach à modifier ses plans.

Un article de Fatos ZEJNULLAHU dans L’AVENIR du 27 mars 2019.

Un ancien se distingue à Aubel

Capture d’écran 2016-12-24 à 11.36.51.pngAuteur de l’égalisation d’Aubel dimanche contre Amay, Olivier Meyers (Rhéto 2013) a par la même occasion inscrit son deuxième but de la saison. Le jeune Fouronais de 21 ans, titulaire à part entière dans la formation de Michel Remacle, découvre la P1, après avoir déjà goûté à la P2C. « J’ai joué quelques matchs avec Jean-Paul Nyssen en 2C puis, étant aux études, j’ai joué deux saisons avec l’équipe de P3. Cette saison, je suis en troisième année dans la section ingénieur industriel et j’ai un peu plus de temps », explique notre interlocuteur, qui a fait la préparation estivale à fond et a su convaincre Michel Remacle de l’incorporer à son noyau. « On était beaucoup de jeunes à partir sur un pied d’égalité. » Reste que, après avoir conquis ses galons de titulaire, il va s’absenter plusieurs semaines pour un stage scolaire. Le match à Visé, programmé ce samedi soir, sera son dernier avant un bon bout de temps. « Je pars le 12 novembre à Londres. Je serai de retour pour les réveillons et puis je serai en examens. Je reprendrai donc le foot après », poursuit Olivier Meyers, qui peut évoluer sur le flanc gauche ou sur le flanc droit. « En P2C, c’est plus physique qu’en P1, où c’est plus technique. C’est mieux pour les petits gabarits pour pouvoir s’illustrer. On a aussi moins le droit à l’erreur. »

Et de revenir quelque peu sur le succès important de dimanche contre Amay. « Ce sont trois bons points pour remonter au classement. Comme c’est fort serré en bas de classement, il ne faut pas que l’écart se creuse de trop. On espère se sauver le plus vite possible. À domicile, on n’a perdu que deux fois jusqu’à présent, contre Dison et Wanze/Bas-Oha. Si en plus on peut prendre quelques points à l’extérieur… »

O.D. dans LA MEUSE VERVIERS du 2 novembre 2016